Les manquements persistants de la France au droit à l’éducation à Mayotte
Le rapport de 77 pages, intitulé « Une exception néfaste : les manquements persistants de la France au droit à l’éducation à Mayotte », révèle que de nombreuses communes imposent des obstacles importants et arbitraires à l’inscription scolaire, notamment en exigeant des documents non prévus par la loi. Les enfants scolarisés se retrouvent souvent dans des écoles surpeuplées ne disposant pas des équipements nécessaires pour répondre à leurs besoins fondamentaux, notamment l’accès à l’eau potable, à des installations sanitaires, à une alimentation adéquate et à un environnement d’apprentissage sûr. Les enfants vivant dans des bidonvilles ainsi que ceux issus de familles migrantes sont particulièrement affectés.
L’accès au traitement de la douleur est un droit humain
Dans son rapport de quarante-sept pages, Human Rights Watch a souligné que les Etats devraient améliorer de manière significative l'accès aux médicaments antidouleur.
Attaques de la LRA contre les civils dans le nord du Congo
Le rapport apporte des informations détaillées sur le massacre de plus de 865 civils et l'enlèvement d'au moins cent soixante enfants qui se sont produits au Congo entre le 24 décembre 2008 et le 17 janvier 2009 dans le district du Haut-Uélé.
Ce rapport analyse les événements du 4 et 5 novembre 2008, au cours desquels environ 150 personnes ont été tuées dans la ville de Kiwanja dans l'Est de la République démocratique du Congo, à moins d'un kilomètre des forces de maintien de la paix des Nations Unies. Il s'agit de l'un des pires massacres au Nord Kivu des deux dernières années.
L’Espagne pousse au rapatriement de mineurs non accompagnés en l’absence de garanties
Ce rapport de 25 pages révèle un défaut fondamental dans le rapatriement par l'Espagne des enfants migrants et réfugiés non accompagnés : l'incapacité du gouvernement à fournir aux mineurs un représentant légal indépendant pendant les procédures de rapatriement.
Les premières années de la Cour pénale internationale à l’examen
La Cour pénale internationale (CPI) a fait des progrès notables pour rendre justice par rapport aux pires crimes, malgré des erreurs de politique et de pratique, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd'hui qui évalue les cinq premières années de la cour.
Ce rapport de 91 pages examine comment la France utilise un délit à la définition floue, celui d’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, pour arrêter un grand nombre de personnes sur la base de preuves minimales.
La violence estudiantine, l’impunité et la crise en Côte d’Ivoire
Ce rapport de 111 pages décrit en détail comment, au cours des dernières années, les membres de la FESCI ont été impliqués dans des attaques à l’encontre de ministres de l’opposition, de magistrats, de journalistes ainsi que d’organisations de défense des droits humains, entre autres.
Ce rapport de 42 pages fait état de 21 cas de passages à tabac et de torture de civils perpétrés en octobre 2007 par une unité spéciale de réserve, connue sous le nom de Groupement Mobile d’Intervention Rapide (GMIR), dans la province de Muramvya.