Amis de la Syrie : La conférence de Bruxelles devra déboucher sur des actes
Il faut mettre l’accent sur la justice, les réfugiés et l’éducation

En 2019, les autorités jordaniennes ont continué de restreindre la liberté d'expression. Certaines arrestations d'activistes, de dissidents et de journalistes étaient basées sur une interprétation abusive des lois contre le terrorisme et sur la criminalité électronique. Les autorités ont aussi empêché arbitrairement la tenue de rassemblements ou d’autres événements publics, sans fournir d’explication ni d’ordre écrit. Les femmes ne sont pas autorisées a transmettre elles-mêmes la citoyenneté jordanienne à leurs propres enfants, ce qui constitue une forme de discrimination. En 2019, la Jordanie était un pays d’accueil pour plus de 657 000 réfugiés syriens et plus de 90 000 réfugiés en provenance d’autres pays, mais les possibilités de demander l’asile dans ce pays ont par la suite été réduites.
Il faut mettre l’accent sur la justice, les réfugiés et l’éducation
Les personnes handicapées dans les situations d’urgence humanitaire
Ces personnes ont aussi de grandes difficultés à survivre dans un contexte de dévastation et de destruction de propriétés
Human Rights Watch a créé un indice classant les pays de la région selon leurs lois et politiques
Le contrôle laxiste du secteur des prêts et les faibles mesures d’aide économique pénalisent injustement les personnes indigentes
Ces incidents s’inscrivent dans une longue série de restrictions à la liberté des médias
Les poursuites engagées à leur encontre portent atteinte au droit à la liberté d’expression
Le débat parlementaire sur le code du statut personnel devrait viser à renforcer l'égalité juridique entre les hommes et les femmes
Des vidéos et un rapport abordent les questions d’identité et d’activisme
Manque de transparence dans le financement, retards et données lacunaires sont identifiés comme les principaux problèmes
Au moins 80 000 enfants syriens sont déscolarisés