Égypte : Abus à l’encontre de femmes suspectées de liens avec un groupe affilié à l’EI
Des cas de torture, de détention au secret, et de procédure irrégulière figurent parmi les abus

Sous la présidence d’Abdel Fattah al-Sissi, l’Égypte traverse l'une de ses pires crises des droits humains depuis de nombreuses décennies. Le gouvernement a tenté de dissimuler les abus, sans prendre de mesure sérieuse pour faire face à cette crise. Des dizaines de milliers de détracteurs du gouvernement, dont des journalistes, des activistes pacifiques et des défenseurs des droits humains, sont toujours emprisonnés sur la base d’accusations abusives de « terrorisme » ; de nombreuses personnes se trouvent en détention préventive prolongée. Les autorités harcèlent et détiennent les proches des dissidents à l'étranger, et utilisent de vagues accusations liées a des question de « moralité » pour poursuivre des personnes LGBT, des « influenceuses » actives sur les médias sociaux, et des survivantes de violences sexuelles. Des crimes graves, dont la torture et les disparitions forcées, sont commis en toute impunité.
Des cas de torture, de détention au secret, et de procédure irrégulière figurent parmi les abus
Le ciblage en ligne et ses conséquences hors ligne pour les personnes LGBT au Moyen-Orient et en Afrique du Nord
La police s’abstient souvent de mener des enquêtes ou d’assurer un suivi adéquat
Les membres de la communauté LGBT font face au risque d’arrestations arbitraires, à la discrimination, aux pièges tendus par la police et à la violation de leur vie privée
Des cas de torture, de détention au secret, et de procédure irrégulière figurent parmi les abus
Les abus affectent de larges segments de la société
La police s’abstient souvent de mener des enquêtes ou d’assurer un suivi adéquat
La proposition soumise affaiblirait la protection des droits et saperait l'action climatique
Les autorités ont aussi installé des caméras de surveillance illégales et imposé des restrictions à la participation du public
L’Égypte, qui accueille la conférence sur le climat dans un contexte d’abus croissants, devrait autoriser une pleine participation de la société civile
Questions et réponses au sujet de la Conférence sur le changement climatique qui aura lieu du 6 au 18 novembre à Charm el-Cheikh, en Égypte
Les autorités devraient respecter le droit à la liberté d’expression lors du sommet sur le climat
Les dirigeants de l’UE devraient dénoncer les abus commis dans le pays et aborder la crise des droits humains causée par le régime d’al-Sissi
Des défenseurs des droits humains et des citoyens ordinaires sont ciblés, harcelés et torturés