Moyen-Orient et Afrique du Nord : Mettre fin aux restrictions à la mobilité des femmes
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays

En 2020, le Liban a subi plusieurs crises, y compris une explosion massive dans le port de Beyrouth, un effondrement économique, une instabilité politique croissante et les effets de la pandémie de Covid-19. L’incapacité des autorités libanaises à répondre efficacement à ces crises, ainsi que le problème de la corruption, ont entraîné une détérioration drastique des droits humains dans le pays. L'enquête nationale sur l'explosion de Beyrouth a manqué d’indépendance, de transparence et de crédibilité. Les forces de sécurité ont parfois eu recours à une force excessive et létale contre des manifestants. La crise économique et la pandémie de Covid-19 ont fortement réduit la capacité des hôpitaux à fournir des soins vitaux. Les coupures d'électricité sont devenues plus fréquentes, pouvant durer jusqu'à 22 heures par jour. Les femmes continuent d'être souvent victimes de violences et de discrimination systématique.
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Le ciblage en ligne et ses conséquences hors ligne pour les personnes LGBT au Moyen-Orient et en Afrique du Nord
Les autorités ne devraient pas traduire en justice des civils devant des tribunaux militaires, et abandonner les accusations de terrorisme en l’absence de preuves
Les autorités s’opposent vigoureusement à la hausse des arrivées de migrants par voie maritime
Des projets de lois répressives s’inscrivent dans un contexte de mesures illégales ciblant ces personnes
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Déclaration conjointe de plusieurs ONG dont Human Rights Watch
L’accès à une électricité fiable et abordable constitue un droit humain
Deux ans après cette tragédie, les survivants se tournent vers le Conseil des droits de l’homme
Les gouvernements et l’ONU devraient faire davantage pour mettre fin aux abus, améliorer les protections et fournir de l’aide à ces personnes
Les bailleurs de fonds devraient réexaminer le bien-fondé de leur soutien aux Forces de sécurité intérieure et au pouvoir judiciaire