Le gouvernement cubain continue de réprimer toute forme de dissidence, et de décourager toute forme de critique publique. Les autorités recourent régulièrement à la détention arbitraire pour harceler et intimider les opposants, les activistes indépendants, les manifestants et d’autres personnes. Parmi les autres tactiques répressives employées par le gouvernement figurent les actes publics d'humiliation et les licenciements arbitraires. L'embargo américain continue de fournir au gouvernement cubain une excuse pour divers problèmes, un prétexte pour ses abus et un moyen d’atténuer les critiques exprimées par des gouvernements étrangers qui (en l’absence d’un tel embargo) condamneraient peut-être plus vigoureusement les pratiques répressives observées à Cuba.
Ils avaient été emprisonnés suite aux manifestations de 2021 ; quatre ans plus tard, des centaines d’autres personnes sont toujours derrière les barreaux
L’embargo longtemps imposé de manière malavisée par les États-Unis a fourni un prétexte pour divers abus
La protection des droits humains est cruciale dans les situations de crise et de chaos
Certains migrants ont trouvé la mort alors que d’autres ont été exploités par leurs employeurs, ont subi des violences, ou ont été détenus dans des conditions déplorables
En mettant fin à sa « Position commune », l’UE avaliserait la répression exercée par le gouvernement cubain
La stratégie antiterroriste américaine propice aux abus affaiblit les droits de l'homme au niveau mondial
Les deux gouvernements imposent des restrictions inhumaines aux déplacements
