Le gouvernement azerbaïdjanais continue de mener une répression brutale contre les voix critiques ou dissidentes. L'espace pour l'activisme indépendant, le journalisme critique et les activités politiques de l'opposition a fortement réduit car de nombreux opposants, activistes et journalistes ont été arrêtés et emprisonnés. Le pays a adopté des lois et règlements restreignant les activités des groupes indépendants et leur capacité à obtenir des financements. Le recours à la torture, l'ingérence dans le travail des avocats et les entraves à leur indépendance, ainsi que les restrictions à la liberté des médias sont d'autres problèmes persistants dans le domaine des droits humains. Tout en critiquant la répression croissante en Azerbaïdjan, les partenaires internationaux de ce pays se sont abstenus de demander l’amélioration du respect des droits afin de renforcer leur future coopération.

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