Érythrée : Sévère répression à l’encontre des familles de réfractaires
Des punitions collectives sont infligées dans le cadre d’une campagne de conscription forcée

Le gouvernement érythréen est extrêmement répressif, soumettant des habitants au travail forcé et à la conscription, et imposant des restrictions à la liberté d’expression, d’opinion et de culte. Les autorités restreignent aussi le contrôle indépendant de la situation des droits humains par des observateurs internationaux. Dans le cadre d’un système de gouvernance dictatoriale sous la présidence d’Isaias Afewerki, l'Érythrée ne dispose pas de législature indépendante, ni de pouvoir judiciaire autonome. Le pays est aussi marqué par l’absence de de médias indépendants ou d'organisations de la société civile. Des élections nationales n'ont toujours pas eu lieu depuis la proclamation de l’indépendance de ce pays en 1993. Le gouvernement n'a pas encore mis en œuvre la constitution de 1997, garantissant les droits civils et limitant le pouvoir exécutif. Depuis la signature de l'accord de paix avec l'Éthiopie en 2018, le gouvernement a entrepris certaines initiatives diplomatique au niveau régional et international, mais n'a pas pris de mesures pour améliorer le sort des Érythréens.
Des punitions collectives sont infligées dans le cadre d’une campagne de conscription forcée
Il faut d’urgence les protéger et leur fournir une assistance ; des milliers de personnes sont portées disparues
L'ONU devrait enquêter d'urgence sur les atrocités commises par divers belligérants à Axoum et ailleurs dans la région
L’accès aux procédures d’asile doit être garanti et les auteurs d’abus poursuivis
Lettre de 63 ONG aux Représentants permanents des États membres et observateurs du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies
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Après deux années de conflit au Tigré, la justice sera cruciale pour éviter de nouvelles atrocités
Un accès immédiat à l’aide humanitaire et la protection des communautés sont essentiels
Le comité CADBE de l’Union africaine de l’enfance devrait s’assurer que les pays respectent le droit de toutes les filles à l’éducation
Les États membres de l’ONU devraient s’abstenir de voter pour des pays candidats ayant violé gravement les droits humains, dont le Cameroun, l’Érythrée et les EAU
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