Érythrée : Sévère répression à l’encontre des familles de réfractaires
Des punitions collectives sont infligées dans le cadre d’une campagne de conscription forcée
Le gouvernement érythréen soumet sa population à une répression généralisée, y compris au travail forcé et à la conscription, ainsi qu’à des restrictions sévères de la liberté d'expression, d'opinion et de culte ; il restreint aussi le contrôle indépendant exercé par les observateurs internationaux. Le gouvernement punit collectivement les familles de réfractaires ou déserteurs présumés. Dans le cadre d’un système de gouvernance dictatoriale sous la présidence d’Isaias Afewerki, l'Érythrée ne dispose pas de législature indépendante, ni d'organisations de la société civile ou de médias indépendants, ni de pouvoir judiciaire autonome. Tout au long de l'année 2022, les forces érythréennes sont restées dans certaines parties de la région éthiopienne du Tigré, où elles ont continué à commettre de graves violations, notamment des meurtres, des actes de pillage et des viols.
10 juillet 2024
2 juillet 2024
Des punitions collectives sont infligées dans le cadre d’une campagne de conscription forcée
Il faut d’urgence les protéger et leur fournir une assistance ; des milliers de personnes sont portées disparues
L'ONU devrait enquêter d'urgence sur les atrocités commises par divers belligérants à Axoum et ailleurs dans la région
L’accès aux procédures d’asile doit être garanti et les auteurs d’abus poursuivis
Lettre de 63 ONG aux Représentants permanents des États membres et observateurs du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies
Des punitions collectives sont infligées dans le cadre d’une campagne de conscription forcée
Après deux années de conflit au Tigré, la justice sera cruciale pour éviter de nouvelles atrocités
Un accès immédiat à l’aide humanitaire et la protection des communautés sont essentiels
Le comité CADBE de l’Union africaine de l’enfance devrait s’assurer que les pays respectent le droit de toutes les filles à l’éducation
Les États membres de l’ONU devraient s’abstenir de voter pour des pays candidats ayant violé gravement les droits humains, dont le Cameroun, l’Érythrée et les EAU
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Parmi ces personnes, Ciham Ali Abdu vient de passer son 23ème anniversaire derrière les barreaux