Mali : Des groupes islamistes armés et des milices ethniques commettent des atrocités
Le gouvernement devrait s’assurer de l’obligation de rendre des comptes et mieux protéger les civils
En août 2020, une crise politique a entraîné le renversement du gouvernement lors d’un coup d’État militaire. La situation des droits humains dans le pays reste fragile, dans un contexte d’abus continus perpétrés par des groupes armés islamistes, des milices ethniques et des forces de sécurité gouvernementales. Les civils continuent de payer le tribut le plus lourd des violences commises par les divers camps. L’impunité quasi-totale aggrave la situation humanitaire, qui au départ était déjà précaire.
Le gouvernement devrait s’assurer de l’obligation de rendre des comptes et mieux protéger les civils
Il est crucial d’enquêter sur les frappes indiscriminées de drones et les exécutions sommaires
Des attaques et exécutions sommaires sont commises en toute impunité
L’UA et la CEDEAO devraient faire pression pour mettre fin aux abus et demander des comptes
Cette décision met en danger les libertés fondamentales
Il est crucial d’enquêter sur les frappes indiscriminées de drones et les exécutions sommaires
Les organisations dissoutes doivent être rétablies et les libertés d’association, de réunion et d’expression respectées
Un colonel de gendarmerie pourrait être victime d’une « disparition forcée » pour avoir dénoncé des abus de l’armée
Cet acte empêchera les citoyens de demander justice devant la Cour de la CEDEAO
Les parties belligérantes devraient respecter le droit international humanitaire
Des attaques et exécutions sommaires sont commises en toute impunité
Il faut veiller à ce que les violations fassent l’objet d’un suivi et de rapports continus, tout en s’assurant que les responsables rendent compte de leurs actes