Malgré les engagements du président João Lourenço en faveur de la protection des droits humains, les forces de sécurité angolaises ont continué de recourir à une force excessive contre des activistes politiques et des manifestants pacifiques. Le gouvernement a présenté des projets de lois qui lui permettraient d’exercer un contrôle excessif sur les institutions privées, et porteraient atteinte aux droits à la liberté d'expression, d'association et de la presse. L'Angola était le premier État membre de l'Union africaine à ratifier le Protocole de Malabo, qui confère à la Cour africaine de justice et des droits de l'homme (CAJDH) la compétence pour juger certains crimes graves, d’une importance particulière dans le contexte de l'héritage colonial du continent.

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  • 21 mai 2012 Rapport

    Violences sexuelles et autres exactions commises à l’encontre de migrants congolais lors de leur expulsion d’Angola

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