Le Président Macron devrait dénoncer la répression brutale au Tadjikistan
La France ne devrait pas ignorer les opposants emprisonnés, la torture et les décès en détention

Tajikistan’s human rights record continues to deteriorate amid an ongoing crackdown on freedom of expression and the political opposition, as well as the targeting of independent lawyers, journalists, and even the family members of opposition activists abroad. Authorities’ use of torture to obtain confessions remains a serious concern. The government continues to block various websites with information critical of the government, subject human rights groups to harassment, including a law requiring nongovernmental organizations (NGOs) to register all sources of funding from foreign sources, restricts media freedoms, and has enforced serious restrictions on religious practice. Lesbians, gays, bisexuals, and transgender people are subjected to wide-ranging discrimination and homophobia. Domestic violence against women also continues to be a serious problem, despite the adoption of a law on domestic violence in 2013 that provided some human rights protections.
La France ne devrait pas ignorer les opposants emprisonnés, la torture et les décès en détention
L’insuffisance de la réponse gouvernementale à ce problème met la vie de nombreuses femmes en danger
Les États-Unis et l’Union européenne devraient envisager l’imposition de sanctions ciblées
Fermeture des frontières, poursuites judiciaires, et expulsions forcées
La protection des droits humains est cruciale dans les situations de crise et de chaos
Un impact sur les droits humains entravé par une absence d’attentes claires et de conséquences politiques
Fermer les yeux sur les violations ne produira pas de réformes