Tunisie : Achever les réformes en matière de droits humains
Le nouveau gouvernement devrait suspendre l’application des lois abusives

Human Rights Watch estime que la justice est importante pour la paix, et qu’ignorer les atrocités renforce une culture d’impunité qui encourage les abus futurs. Les recherches que nous avons menées au cours des 30 dernières années dans de nombreux pays ont montré que l’impact de la justice est insuffisamment pris en compte au moment de fixer les objectifs à atteindre dans le cadre de la résolution d’un conflit et de l’instauration d’une paix durable. Rester inflexible sur les questions de justice peut avoir des effets positifs à court et à long termes, là où l’échec à établir les responsabilités s’avère souvent coûteux en termes de vies et de stabilité durable.
Le nouveau gouvernement devrait suspendre l’application des lois abusives
Crimes de guerre, crimes contre l’humanité et la Cour pénale spéciale en République centrafricaine
Les relations entre la France et le régime tchadien de Hissène Habré (1982-1990)
Les autorités devraient rendre les conclusions de l’enquête publiques, garantir la transparence et s’assurer de l’obligation de rendre des comptes
L’initiative de justice transitionnelle devrait inclure des poursuites pour les crimes graves
Les poursuites judiciaires injustifiées violent le droit à une défense et à un procès équitable pour les accusés
L’administration Biden devrait appuyer les efforts de justice internationale et examiner les allégations d’actes de torture précédemment commis
Parmi les centaines de détenus figurent aussi des représentants du gouvernement civil et des médecins
Un documentaire dévoile des liens présumés entre le général Aziz et des abus commis par les forces de sécurité
Le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies devrait insister pour que les auteurs d’abus soient tenus responsables de leurs actes
Human Rights Watch diffuse une vidéo qui montre leurs fortunes inexpliquées, alors que le nombre de prisonniers politiques continue de croître
L’administration Duterte avait rajouté leurs noms à une « liste rouge »
31 ans plus tard, la répression gouvernementale s’est accrue et les abus se multiplient sur le plan international
Document d'information de Human Rights Watch