Hébergement, santé, et éducation pour les enfants migrants non accompagnés à Marseille
Le rapport de 74 pages, « "Ce n’est pas la France que j’avais imaginée" : Hébergement, santé, et éducation pour les enfants migrants non accompagnés à Marseille », constate que les autorités chargées de la protection de l'enfance à Marseille abandonnent dans la rue des enfants présentant des problèmes de santé, sans traitement, ni soutien psychosocial ou suivi médical. La moitié des enfants migrants non accompagnés qui font l'objet d'une évaluation de leur âge à Marseille se voient refuser la reconnaissance officielle de leur statut d'enfant, mais ces décisions sont annulées pour près de 75 % de ceux qui font appel. L'examen des recours par les tribunaux peut prendre des mois, voire des années. Pendant ce temps, les enfants sont privés d'hébergement d'urgence et de services tels qu’une assistance juridique, la désignation d'un tuteur, une protection universelle en matière de santé et l'éducation.
La manipulation politique de l'ethnicité en Côte d'Ivoire
Human Rights Watch accuse les principaux membres du gouvernement ivoirien d'avoir favorisé la montée de la violence xénophobe qui menace de déstabiliser le pays.
Les commissions nationales des droits de l'homme commanditées par l'Etat sont en vogue actuellement au sein des gouvernements, particulièrement en Afrique où leur nombre s'est multiplié au cours des dix dernières années. Alors qu'en 1989, il n'y en avait qu'une seule, en 2000, on en compte vingt-quatre en fonctionnement ou en formation.
Human Rights Watch appelle aujourd'hui à faire des questions relatives aux droits de l'homme un thème dominant de la campagne présidentielle algérienne et de la période post-électorale.