L’élection du président Évariste Ndayishimiye en mai 2020 a fait naître l’espoir de mettre un terme à la crise généralisée des droits humains au Burundi. Cependant, le CNDD-FDD, qui est aux commandes du pays, a maintenu son monopole sur le pouvoir après les élections, et des rapports faisant état d’exécutions extrajudiciaires, de disparitions et d’arrestations arbitraires de membres de l’opposition persistent. La société civile et les médias indépendants ne sont toujours pas en mesure de fonctionner librement. Si quatre journalistes ont été graciés et libérés fin 2020, plusieurs défenseurs des droits humains restent en prison malgré les appels internationaux en faveur de leur libération.

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