La nécessité de rendre des comptes pour la torture au Rwanda
Le rapport de 23 pages, intitulé « “Ils m’ont jeté dans l’eau et battu” : La nécessité de rendre des comptes pour la torture au Rwanda », documente la torture et les mauvais traitements infligés à des détenus par des fonctionnaires pénitentiaires et des détenus à la prison de Nyarugenge dans la capitale, Kigali ; à la prison de Rubavu, dans l’ouest du Rwanda ; et dans un centre de détention non officiel à Kigali connu sous le nom de « Kwa Gacinya ». Human Rights Watch a constaté que des juges ont ignoré les plaintes de personnes actuellement ou précédemment détenues lors de procès concernant la détention illégale et les mauvais traitements, créant un environnement d’impunité quasi totale.
Le rapport fait état de cas où les soldats burundais ont exécuté sommairement cinq civils et torturé d’autres civils qu’ils soupçonnaient de collaborer avec le dernier groupe rebelle actif, les Forces de Libération Nationale (FNL).
Depuis sept ans, Human Rights Watch poursuit ses efforts aux côtés des victimes des exactions de Hissène Habré en vue de faire traduire en justice l'ancien Président du Tchad aujourd'hui en exil au Sénégal. En juillet 2006, à la demande de l'Union africaine, le Président du Sénégal a consenti à juger Hissène Habré au Sénégal.
Pourquoi Hissène Habré est-il poursuivi en Belgique?Hissène Habré vit au Sénégal, où il a été inculpé en 2000 de complicité de crimes contre l’humanité, d’actes de torture et de barbarie. Cependant, les tribunaux sénégalais ont, par la suite, décidé qu’Habré ne pouvait pas être jugé au Sénégal pour des crimes commis au Tchad.
le plan de paix du président algérien soumis au vote national le 29 septembre
Le 15 août dernier, le gouvernement algérien a publié dans le Journal Officiel le texte du “Projet de Charte pour la paix et la réconciliation nationale” promis depuis longtemps.
Dans ce rapport de 39 pages, Human Rights Watch rapporte des crimes de guerre circonstanciés et autres graves violations des droits humains commis lors des affrontements de décembre.
Près de quinze ans après la chute de Hissène Habré et de son régime, marqué par de massives violations des droits de l’homme, des dizaines de ses complices occupent toujours des positions d’influence au sein du gouvernement et de l’administration tchadienne.
Ce rapport de 159 pages apporte des informations sur la façon dont des groupes armés locaux qui s’affrontent pour le contrôle des mines d’or et des voies commerciales ont commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité en utilisant les profits tirés de l’or pour financer leurs activités et acheter des armes.
La précarité des droits humains et de la protection civile en Côte d’Ivoire
Le rapport de 35 pages documente les incidents militaires récents qui illustrent la précarité de la situation en Côte d’Ivoire. Le rapport montre aussi comment la prolifération permanente des milices et la pratique par le gouvernement de discours incitant à la haine et à la violence mettent les populations civiles en risque constant.
Les droits des femmes dans la lutte contre le sida
La pandémie mondiale du VIH/sida affecte de façon catastrophique les femmes et les filles. Le nombre d’infections dues au virus VIH chez les femmes et les filles a augmenté dans les toutes les régions du monde au cours des dernières années et, en Afrique sub-saharienne, elles représentent près de 60 pour cent des personnes infectées.
Poursuivre les auteurs de violences sexuelles commises pendant la guerre au Congo
Le rapport de 59 pages explique en détail pourquoi les mesures prises par le gouvernement de la République Démocratique du Congo sont insuffisantes pour poursuivre ceux qui se sont rendus coupables de viol pendant la guerre.
Les acteurs internationaux qui appuient le processus de paix au Congo doivent contrôler et promouvoir le respect par tous les signataires des Accords de Lusaka, du Protocole de Prétoria ainsi que d’autres accords qui en ont résulté, dont la récente déclaration de Dar-Es-Salaam portant sur la Paix, la Sécurité et le Développement dans la Région des Grands Lacs, signée à l’issue du p
Le rapport de 70 pages, intitulé “Les droits humains à la croisée des chemins,” reprend des entretiens effectués avec les avocats et les parents des prisonniers marocains qui ont déclaré que lors de leurs interrogatoires, ils avaient été soumis à des exactions physiques et mentales, équivalant dans certains cas à des tortures, pour leur arracher des aveux ou les forcer à signer une