Je travaille pour une organisation internationale de défense des droits humains, et j'ai passé des mois à demander à l'armée israélienne l'autorisation de participer à des réunions de travail avec des collègues à Jérusalem, à Ramallah et ailleurs. Toutefois, j'ai rencontré des obstacles à chaque étape du process de demande des documents requis simplement pour pouvoir sortir de Gaza - jusqu'à ce que je reçoive un appel téléphonique le 28 janvier.
Ce jour-là, un représentant de l'Autorité générale des affaires civiles de l'Autorité palestinienne m’a informée par téléphone que mon permis avait été approuvé et que mon départ était prévu dans deux jours. J'étais abasourdie.
La perspective de quitter ce territoire d’une superficie de moins de 400 kilomètres carrés pour la première fois de ma vie m'a rendue si nerveuse que je n'ai pas pu dormir la veille de mon départ.
Pour lire la suite de cette tribune en anglais :
www.hrw.org/news/2018/03/16/31-my-first-glimpse-life-outside-gaza
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#Gaza - "Les allégations israéliennes de violences par certains manifestants ne changent rien au fait que l'utilisation de la force meurtrière est interdite par le droit international, sauf pour faire face à une menace imminente", a rappelé HRW. https://t.co/WqbWHi9Or7 @LePoint
— HRW en français (@hrw_fr) 31 mars 2018