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Le Conseil de Sécurité des Nations Unies devrait maintenir l’embargo sur les armes contre le gouvernement libérien et les factions rebelles libériennes. Le Conseil de Sécurité examinera les sanctions existantes sur le Liberia le 7 mai 2003.

Human Rights Watch a fait état de nombreux abus des droits humains contre des civils par le gouvernement libérien et les groupes rebelles l’an passé, comprenant des exécutions sommaires, le recrutement d’enfants, des violences sexuelles, des pillages de propriétés civiles, et de travail forcé. Les combattants libériens et sierra léonais ont aussi été impliqués dans de nombreux abus de droits humains à la frontière en Côte d’Ivoire occidentale.

« Le gouvernement libérien et les rebelles n’ont pas cessé de commettre des abus au Liberia ou dans les pays voisins », a dit Peter Takirambudde, directeur exécutif de la Division Afrique de Human Rights Watch. « C’est une raison pour laquelle l’embargo, non plus, ne devrait pas être levé.»

Human Rights Watch a dit que ce flux d’armes illicites au gouvernement et groupes rebelles avec de graves abus des droits humains représentait un des plus grands soucis pour la stabilité dans la région.

Human Rights Watch a également demandé au Conseil de Sécurité d’établir un comité d’experts ayant pour mandat d’instruire les flux illicites et le soutien des gouvernements hôtes aux groupes insurgés abusifs tels que les Libériens Unis pour la Réconciliation et la Démocratie (LURD).

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