En Roumanie, les femmes et les filles enceintes font face à des obstacles croissants pour accéder à la possibilité d’un avortement en cas de grossesse non désirée, comme le signale un nouveau rapport de HRW. Ceci constitue une violation préoccupante du droit à l’avortement, procédure devenue légale dans ce pays en 1989.

Ce 8 mars est la Journée internationale des femmes. C'est l'occasion de rendre hommage aux courageuses militantes des droits des femmes partout dans le monde, selon Sahar Fetrat (HRW).

Déclaration de Fereshta Abbasi (HRW) au Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève, appelant à la création d’un mécanisme indépendant visant à obtenir justice pour les abus commis par les talibans en Afghanistan.

Extrait d’une vidéo plus longue (https://youtu.be/tDbJYaMyAp8) au sujet des risques auxquels ont été confrontées les femmes enceintes à Gaza tout au long de 2024, comme l’illustre ce triste témoignage. HRW a publié à ce sujet un nouveau rapport.

En Haïti, les groupes criminels se livrent à des violences sexuelles généralisées à l'encontre des filles et des femmes. De nombreuses survivantes n'ont qu'un accès limité aux services de protection et de soins d'urgence.

À Téhéran, le Bureau de la promotion de la vertu et de la prévention du vice veut établir une « clinique de traitement » pour les femmes qui s’opposent au port obligatoire du hijab. Ce n’est que le dernier exemple d’une politique répressive qui porte atteinte aux droits des femmes et des filles de ce pays.

Commentaire de Macarena Sáez, directrice de la division Droits des femmes à Human Rights Watch au sujet des menaces pour ces droits, suite à la réélection de Donald Trump à la présidence des États-Unis.

Des ex-policières afghanes sont doublement menacées, par les talibans mais aussi parfois par leurs propres familles. Il est essentiel de les protéger.

Déclaration de Fereshta Abbasi (HRW) au Conseil des droits de l’homme à Genève, le 10/9/24, au sujet de l’Afghanistan.

En Corée du Sud, un nombre croissant de femmes et de filles sont victimes de la diffusion en ligne de fausses photos ou vidéos qui semblent les montrer lors d’actes sexuels, ou sont filmées à leur insu par des mini-caméras cachées dans des vestiaires ou des toilettes. Les autorités devraient agir résolument contre ces cybercrimes.