Dans l’État du Pará au Brésil, les communautés autochtones qui vivent sur deux territoires dans la zone de la forêt amazonienne sont confrontées aux actions illégales d’éleveurs de bétail qui déboisent des parties de la forêt, afin d’y établir des ranchs non autorisés.

La forêt de Sarawak, en Malaisie, a subi des opérations de déboisement afin de créer des plantations dont certains produits sont exportés vers l’Union européenne. Dès le 30 décembre, l’UE devrait appliquer sans délai son nouveau Règlement contre la déforestation (EUDR), interdisant aux pays européens d’importer ces produits.

En 2022, les forêts tropicales ont subi une destruction équivalente à environ 11 terrains de football par minute. Les dirigeants du monde entier sont en retard sur leur promesse de mettre fin à la déforestation d'ici à 2030, mais il est encore possible d'inverser la tendance.

Lors de la conférence COP26 sur le changement climatique, les participants devraient s’engager à protéger les activistes au Brésil qui luttent contre la déforestation illicite en Amazonie.

Le gouvernement ne protège pas suffisamment les communautés affectées, ni l'environnement.

(Sous-titres via cc) – Les incendies ayant ravagé de grandes parties de la forêt tropicale de l’Amazonie, au Brésil, ont un impact dévastateur sur l’environnement, mais aussi sur la santé des habitants de cette région. Il est urgent d’inverser cette inquiétante tendance, documentée de manière détaillée dans un nouveau rapport de Human Rights Watch.