Un an après la publication d’un rapport accablant des Nations Unies faisant état de possibles crimes contre l'humanité contre les Ouïghours (minorité musulmane) au Xinjiang, les abus continuent.

HRW a analysé une base de données utilisée par la police chinoise au Xinjiang, dont elle se sert dans le cadre de son programme de surveillance de masse, notamment par le bais d’applications qui examinent de manière intrusive les téléphones portables des habitants.

Un nouveau rapport de l’ONU décrit les graves abus commis par le gouvernement chinois dans la région de Xinjiang - détentions arbitraires, disparitions forcées, travail forcé et autres violations – susceptibles de constituer des crimes contre l’humanité.

Dans la région du Xinjiang en Chine, les abus sont susceptibles de constituer des crimes contre l’humanité.

(Vidéo, sous-titres via cc) – Les autorités chinoises ont mis en place au Xinjiang un système de surveillance massive, comprenant de graves violations du droit à la vie privée, documentées dans un nouveau rapport de Human Rights Watch.

(VIDÉO, sous-titres via cc) – Témoignages sur la répression pratiquée par le gouvernement chinois dans la province du Xinjiang, à majorité musulmane, dont près d'un million d'habitants seraient détenus dans des "camps de rééducation".

(VIDÉO, sous-titres via cc) –Dans la région du Xinjiang, les autorités chinoises imposent des "séjours chez l'habitant" dans le cadre d’une campagne d'endoctrinement politique visant les musulmans dans cette région. HRW appelle le gouvernement à mettre fin à cette campagne qui viole le droit à la vie privée ainsi que les droits de toute minorité, en vertu des normes internationales relatives aux droits humains.