Rapports

Le ciblage en ligne et ses conséquences hors ligne pour les personnes LGBT au Moyen-Orient et en Afrique du Nord

Le rapport de 135 pages, intitulé « “All This Terror Because of a Photo”: Digital Targeting and Its Offline Consequences for LGBT People in the Middle East and North Africa » (« ‘‘Toute cette terreur à cause d’une photo’’: Le ciblage en ligne et ses conséquences hors ligne pour les personnes LGBT au Moyen-Orient et en Afrique du Nord » - résumé et recommandations en français), examine la pratique du ciblage en ligne par les forces de sécurité et ses conséquences considérables dans la vie réelle – notamment la détention arbitraire et la torture – dans cinq pays : l’Égypte, l’Irak, la Jordanie, le Liban et la Tunisie. Le rapport montre comment des forces de sécurité utilisent le ciblage en ligne pour recueillir, voire créer des preuves en vue d’ouvrir des poursuites.

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  • Violences contre les femmes lesbiennes, bisexuelles et queers et les personnes non binaires

    The 211-page report, “This Is Why We Became Activists: Violence Against Lesbian, Bisexual, and Queer Women and Non-binary People,” is a groundbreaking investigation into violence and discrimination in 26 countries. Human Rights Watch looked beyond the criminalization of same-sex conduct to analyze how sexist, patriarchal legal regimes such as male guardianship, unequal inheritance laws, and discrimination against single women violate LBQ+ people’s rights and leave them at a significant disadvantage in virtually very aspect of their lives. In addition to physical and sexual violence from family members, security forces, and others, LBQ+ people face discrimination at work, in land and property rights, fertility services, migration and resettlement, and unequal access to justice.

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  • Des examens anaux forcés lors des poursuites pour homosexualité

    Le rapport est basé sur des interviews avec 32 hommes et femmes transgenres qui ont subi des examens anaux forcés au Cameroun, en Egypte, au Kenya, au Liban, enTunisie, au Turkménistan, en Ouganda, et en Zambie. Les examens, qui ont pour objectif prétendu d’établir des ‘preuves’ de comportement homosexuel, consistent souvent à la pénétration forcée de l’anus de l’accusé par des médecins ou d’autres membres du personnel médical, avec leurs doigts ou parfois d’autres objets. Des victimes d’examens anaux forcés ont raconté à Human Rights Watch qu’ils trouvaient les examens douloureux et dégradants ; certains les ont vécus comme une forme de violence sexuelle. 

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    Un rapport médical complété par un médecin à Kampala, Ouganda, après avoir fait un examen anal forcé sur un homme suspect de rapports homosexuels consentis.
  • Violations des droits humains commises dans l’application de la loi contre l’homosexualité au Cameroun

    Le rapport de 59 pages présente dix études de cas portant sur des arrestations et des poursuites menées en application de l’article 347 bis du code pénal camerounais, qui punit les « rapports sexuels avec une personne de son sexe » de peines de prison pouvant aller jusqu’à cinq ans.
  • Violences contre les hommes gays et perçus comme tels au Sénégal

    Le rapport de101 pages, intitulé « Craindre pour sa vie : Violences contre les hommes gays et perçus comme tels au Sénégal » (« Fear for Life: Violence Against Gay Men and Men Perceived as Gay in Senegal ») contient des entretiens avec des dizaines de personnes sénégalaises victimes de menaces et d'actes de violence de la part de la police ou d'autres membres de la communauté.
  • Atteintes aux droits humains au Cameroun fondées sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre

    Le rapport de 70 pages, intitulé « Criminalisation des identités : Atteintes aux droits humains au Cameroun fondées sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre », renseigne en détail sur la manière dont le gouvernement camerounais recourt à l’article 347 bis du Code pénal pour refuser les droits fondamentaux aux personnes perçues comme étant gays, lesbiennes, bisexuelles ou
  • Institutionnalisation de la discrimination contre les gays et lesbiennes au Burundi