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22 décembre 2016
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Pas de refuge
Camp de déplacés de l’Évêché à Kaga-Bandoro, République centrafricaine, le 29 septembre 2016, deux semaines avant l’attaque de la Séléka. © Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Camp de déplacés de l’Évêché à Kaga-Bandoro, République centrafricaine, le 19 octobre 2016, une semaine après l’attaque de la Séléka. © Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Un homme inspecte sa cabane incendiée le 12 octobre 2016 au camp de déplacés de l’Évêché, République centrafricaine. Les forces de la Séléka ont brûlé au moins 435 huttes dans le camp. © Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Un Casque bleu de l’ONU à Kaga-Bandoro, République centrafricaine, surveille le nouveau camp de déplacés près de l’aérodrome, mis en place après l’attaque du 12 octobre 2016. © Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Le nouveau camp de déplacés à Kaga-Bandoro, autour de la base de la MINUSCA et de l’aérodrome, où près de 15 000 personnes ont trouvé refuge après l’attaque de la Séléka le 12 octobre 2016. © Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Le général Mahamt Al Khatim, chef militaire du Mouvement patriotique pour la Centrafrique, un groupe de la Séléka à Kaga-Bandoro. Al Khatim a indiqué à Human Rights Watch que ses hommes n’étaient pas impliqués dans l’attaque contre le camp de déplacés de l’Évêché le 12 octobre 2016. © Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Un barrage routier mis en place par des combattants anti-balaka à Makonzi Wali, à 20 kilomètres au sud de Bocaranga et à 20 kilomètres à l'est de De Gaulle, dans la sous-préfecture de Koui dans la province d’Ouham Pendé, République centrafricaine, le 26 novembre 2016. © 2016 Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Le général autoproclamé Abba Rafal, chef des anti-balaka à Bocaranga, en République centrafricaine. Rafal a déclaré à Human Rights Watch qu'il ne tuait pas les civils, mais qu'il avait tué des Peuls qui, selon lui, travaillaient comme « espions ». © 2016 Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Des combattants du groupe rebelle « Retour, Réclamation et Réhabilitation » (3R) à De Gaulle, dans la sous-préfecture de Koui dans la province d’Ouham Pendé, République centrafricaine, le 25 novembre 2016. © 2016 Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Des combattants du groupe rebelle « Retour, Réclamation et Réhabilitation » (3R) à De Gaulle, dans la sous-préfecture de Koui dans la province d’Ouham Pendé, République centrafricaine, le 25 novembre 2016. © 2016 Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
Une jeune fille déplacée de Boumari prépare un repas devant la cabane de fortune où vit sa famille près du village de Bodé, le 23 novembre 2016. Les attaques du groupe rebelle 3R ont forcé au moins 17 000 personnes à quitter leurs foyers en République centrafricaine. © 2016 Edouard Dropsy pour Human Rights Watch
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