REMERCIEMENTS

Les recherches pour ce rapport ont été conduites par Joanne Csete et Michael Bochenek de la Division des droits de l'enfant à Human Rights Watch. Le rapport a été rédigé par Joanne Csete. Lois Whitman, directeur exécutif de la Division droits de l'enfant ; Malcolm Smart, Directeur des programmes de Human Rights Watch et Wilder Tayler, Directeur de la division droit et politique ont assuré la relecture de ce rapport. La traduction a été réalisée par Anne Fonteneau.

Un nombre important d'individus et d'organisations ont contribué à rendre cette recherche possible. Notre gratitude pour une aide généreuse sur le terrain va à de nombreuses organisations non gouvernementales et à des collègues des Nations Unies dont Martin J. Swinchatt, Beatrice Kavesu et les talentueux travailleurs sociaux, Sarah W. Mbira et Anne W. Macharia de Pendekezo Letu, à Thika et Nairobi ; Joab et Philomena Othatcher de TEMAK à Kisumu ; Alphonce C. L. Omolo, Pamela Odhiambo, Bernard Ogendi, Felgona Atieno et la très dévouée équipe à Pandipieri Catholic Centre, Kisumu ; Wilfred O. Owuor de Catholic Relief Services à Homa Bay et Yvonne Ferguson de Catholic Relief Services à Nairobi ; Mary Anienda, George Owiti et Ricky Gai Omondi de MORCAO à Rachuonyo ; K. Joyce Umbima, Timothy Ekesa et leurs collègues à la Kenya Alliance for Advancement of Children ; Elizabeth Owuor-Oyugi et Evelynn Ogwang du African Network for Prevention and Protection from Child Abuse and Neglect (ANPPCAN)-Kenya ; Allan G. Ragi du Kenya AIDS NGOs Consortium ; Eric Ogwang of the Children's Legal Action Network (CLAN) ; Millie Odhiambo, Violet Anyanzwa et Jane Ndaisi Kwinga de CRADLE ; Daniel Odibo and Julius Masuba de KESPA à Siaya; les Capitaines Isaac Libiala et Rose Libiala de l'Armée du Salut à Kibera (Nairobi) ; Mary Njuguna et Jacqueline Anam de SNV ; Patricia Hari et Nigel Nicholson de Save the Children-UK ; Major Joyce K. Mbungu de l'Armée du Salut à Nairobi ; Judy Thongori de la Federation of Women Lawyers-Kenya ; Willy Mutunga et Mikewa Ogada de la Kenya Human Rights Commission ; Nicholas Alipui, Helena Eversole, Marinus Gotink et Jane Muita de UNICEF-Kenya ; Dr. Chris Ouma et John Mburu de ActionAID-Kenya ; Dr. Angelo D'Agostino, S.J. de Nyumbani Home for Children ; Dr. Michael Elmore-Meegan du International Community for the Relief of Starvation and Suffering (ICROSS) au Kenya ; Maryalice Onyura de Rescue Dada Centre et Jedida Nyongesa du Child Welfare Society of Kenya. Nous remercions également les chercheurs et experts du VIH/SIDA qui ont offert conseils et assistance : Dr. Kevin De Cock du U.S. Centers for Disease Control and Prevention (Nairobi), Dr. Aine Costigan de la Medical School à Kenyatta Hospital, Dr. Tony Johnston de Population Communication Africa et Prof. Robert Bailey de l'Université de l'Illinois à Chicago.

Plusieurs personnes dans le domaine du droit nous ont généreusement aidés à comprendre ce que signifie, sous le régime du droit kenyan, lutter pour la vie lorsqu'on est atteint du VIH/SIDA dont Ambrose D. O. Rachier et Otiende Amollo de Rachier & Company Advocates et David Otieno de David Otieno & Co. Advocates à Kisumu.

Pour leur extrême gentillesse en matière d'assistance logistique sur le terrain, nous remercions Helena Eversole et Tanny Noorlander. Sans l'excellent et fiable travail de James Muliti au Kenya, cette recherche n'aurait pas été possible.

Mais plus que tout, nous tenons à remercier tous les enfants, parents et tuteurs courageux qui nous ont parlé de la façon dont le VIH/SIDA a affecté leurs vies, contribuant ainsi à briser la conspiration du silence qui ne fait que renforcer les effets de cette terrible maladie.