© Issouf Sanogo, 2000 |
"Ils nous faisaient chanter 'Alassane est mousi' [burkinabé], et 'Gbagbo président.' Le vendredi,
certains policiers parlaient d'un gendarme qui avait été tué et ensuite, le samedi, quelques policiers
ont apporté le journal avec les nouvelles et les photos du massacre de Yopougon, et ont dit 'voilà
comment vous auriez dû être tués ... mais vous avez de la chance, vous êtes à l'école de police.'"
- Témoignage à Human Rights Watch
Les supporters d'Alassane Ouattara enterrent leurs morts après les violences de l'élections d'octobre.
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