RCA : Meurtres impunis

Des personnes déplacées dans le camp principal de Batangafo, province de Ouham (République centrafricaine), en août 2015.
Des personnes déplacées dans le camp principal de Batangafo, province de Ouham (République centrafricaine), en août 2015.  © 2015 William Daniels/Panos Pictures
Des Casques bleus de la MINUSCA patrouillent entre Batangafo et Bouca dans la province de Ouham, en République centrafricaine, en juillet 2015.
Des Casques bleus de la MINUSCA patrouillent entre Batangafo et Bouca dans la province de Ouham, en République centrafricaine, en juillet 2015. © 2015 William Daniels/Panos Pictures
Des habitants de Marzé sont cachés dans les bois après que les forces de la Séléka et des combattants peuls ont attaqué cette localité en juillet 2015.
Des habitants de Marzé sont cachés dans les bois après que les forces de la Séléka et des combattants peuls ont attaqué cette localité en juillet 2015.  © 2015 William Daniels/Panos Pictures
Des habitants de Marzé se cachent dans les bois après que les forces de la Séléka et des combattants peuls ont attaqué cette localité en juillet 2015.
Des habitants de Marzé se cachent dans les bois après que les forces de la Séléka et des combattants peuls ont attaqué cette localité en juillet 2015.  © 2015 William Daniels/Panos Pictures
Franco Yagbegue, alias « Pelé », un commandant anti-balaka de Blakajda, en République centrafricaine. Des témoins ont indiqué qu’il avait conduit plusieurs attaques le long de la route Kaga-Bandoro–Mbrès en 2015, notamment contre le village de Kako.
Franco Yagbegue, alias « Pelé », un commandant anti-balaka de Blakajda, en République centrafricaine. Des témoins ont indiqué qu’il avait conduit plusieurs attaques le long de la route Kaga-Bandoro–Mbrès en 2015, notamment contre le village de Kako. © 2015 William Daniels/Panos Pictures
Un combattant de l’UPC à la mine d’or de Ndassima dans la province de Ouaka, en République centrafricaine, en 2015. Des factions de la Séléka ont commencé à se battre autour de la mine début 2017.
Un combattant de l’UPC à la mine d’or de Ndassima dans la province de Ouaka, en République centrafricaine, en 2015. Des factions de la Séléka ont commencé à se battre autour de la mine début 2017. © 2015 William Daniels/Panos Pictures
La mine d’or de Ndassima (République centrafricaine) en 2015, où des factions concurrentes de la Séléka ont commencé à se battre début 2017.
La mine d’or de Ndassima (République centrafricaine) en 2015, où des factions concurrentes de la Séléka ont commencé à se battre début 2017. © 2015 William Daniels/Panos Pictures
Une femme déplacée au principal camp de Batangafo, province de Ouham (République centrafricaine), en août 2015.
Une femme déplacée au principal camp de Batangafo, province de Ouham (République centrafricaine), en août 2015.  © 2015 William Daniels/Panos Pictures
Des personnes déplacées au camp principal de Batangafo, province de Ouham (République centrafricaine), en août 2015.
Des personnes déplacées au camp principal de Batangafo, province de Ouham (République centrafricaine), en août 2015.  © 2015 William Daniels/Panos Pictures
Des personnes déplacées attendent à une clinique médicale dans le camp principal de Batangafo, province de Ouham (République centrafricaine), en août 2015.
Des personnes déplacées attendent à une clinique médicale dans le camp principal de Batangafo, province de Ouham (République centrafricaine), en août 2015.  © 2015 William Daniels/Panos Pictures
L’ancien commandant du FPRC et actuel commandant du MPC Mahamat Al Khatim. Des témoins l’accusent d’avoir commandé entre 2015 et 2017 des combattants ayant commis en République centrafricaine des exactions pouvant constituer des crimes de guerre.
L’ancien commandant du FPRC et actuel commandant du MPC Mahamat Al Khatim. Des témoins l’accusent d’avoir commandé entre 2015 et 2017 des combattants ayant commis en République centrafricaine des exactions pouvant constituer des crimes de guerre. Al Khatim nie ces allégations. © 2015 William Daniels/Panos Pictures

(PHOTOS) – Portraits de civils exposés au risque d’abus commis par des groupes armés en République centrafricaine, et de commandants qui nient toute responsabilité en dépit d’éléments de preuves sur le rôle de leurs forces dans diverses exactions.