Le rapport de 84 pages décrit les meurtres délibérés de civils – y compris des femmes, des enfants et des personnes âgées – entre mars et juin 2013, et confirme la destruction délibérée de plus de 1 000 maisons dans la capitale, Bangui, ainsi que dans les provinces. De nombreux villageois ont dû fuir leurs foyers et vivent dans la brousse, craignant de nouvelles attaques. Human Rights Watch a documenté les décès d’un grand nombre de personnes suites à des blessures, à la faim ou à la maladie.