Dans ce rapport de 39 pages, Human Rights Watch rapporte des crimes de guerre circonstanciés et autres graves violations des droits humains commis lors des affrontements de décembre. L’échec à intégrer dans les rangs d’une armée nationale unifiée les anciens groupes combattants apparaît comme l’une des causes majeures du conflit, l’autre étant les tensions ethniques ravivées au Nord-Kivu. Certains des civils nouvellement armés ont en effet pris part aux violations des droits humains.