« Ihor », détenu par les forces russes lors de leur occupation d’Izioum, en Ukraine, a déclaré qu’à plusieurs reprises, les soldats l’avaient fait s’asseoir par terre, les genoux pliés vers le haut. Ils lui ont lié les mains sous les genoux avant d’insérer une tige métallique juste devant sa poitrine et sous ses bras, dans une position qu’il a appelée « position du perroquet ». Ensuite, a-t-il expliqué, ils ont soulevé la tige métallique de manière à ce qu’il reste suspendu ainsi.

« Ihor », détenu par les forces russes lors de leur occupation d’Izioum, en Ukraine, a déclaré qu’à plusieurs reprises, les soldats l’avaient fait s’asseoir par terre, les genoux pliés vers le haut. Ils lui ont lié les mains sous les genoux avant d’insérer une tige métallique juste devant sa poitrine et sous ses bras, dans une position qu’il a appelée « position du perroquet ». Ensuite, a-t-il expliqué, ils ont soulevé la tige métallique de manière à ce qu’il reste suspendu ainsi.

© 2022 John Holmes pour Human Rights Watch