« Alla », une femme détenue pendant dix jours en juillet 2022 dans une petite pièce d’un bâtiment situé dans l’enceinte de la Polyclinique de la gare municipale à Izioum, en Ukraine, a gravé son nom sur le mur, avec les mots et fragments de phrases suivants : « électricité, déshabillée, violée », « à peine vivante », « assassinée », « très douloureux » et « au secours ». Photo prise le 7 octobre 2022.

Alla, une femme détenue pendant dix jours en juillet 2022 dans une petite pièce d’un bâtiment situé dans l’enceinte de la Polyclinique de la gare municipale à Izioum, en Ukraine, a gravé son nom sur le mur, avec les mots et fragments de phrases suivants : « électricité, déshabillée, violée », « à peine vivante », « assassinée », « très douloureux » et « au secours ». Photo prise le 7 octobre 2022.

© 2022 Belkis Wille/Human Rights Watch