La main droite de Mahamat Nour Amadou, qui a affirmé avoir eu un doigt sectionné par des membres de forces parlant russe à Bambari, dans la préfecture de Ouaka (République centrafricaine), en janvier 2019. Nour a parlé de son cas aux médias internationaux et a déclaré à Human Rights Watch que de ce fait, il craignait pour sa vie. Il a été tué par la suite, en septembre 2019, dans des circonstances peu claires.

La main droite de Mahamat Nour Amadou, qui a affirmé avoir eu un doigt sectionné par des membres de forces parlant russe à Bambari, dans la préfecture de Ouaka (République centrafricaine), en janvier 2019. Nour a parlé de son cas aux médias internationaux et a déclaré à Human Rights Watch que de ce fait, il craignait pour sa vie. Il a été tué par la suite, en septembre 2019, dans des circonstances peu claires.

© 2019 Lewis Mudge