« Nous devons inverser notre système actuel, marqué par une sorte de position par défaut où c’est la police qui réagit à une crise de santé mentale, et réellement concevoir sur mesure un système qui donne aux gens accès à un appui en matière de santé mentale, au moment et à l’endroit où ils en ont besoin », estime Susan Davis, directrice exécutive du Centre de crise Gerstein.