![Une élève lève la main pour répondre à une question de son institutrice dans une salle de classe bondée d’une école primaire publique à Kaya, une ville de la région burkinabè du Centre-Nord qui accueille des dizaines de milliers de personnes déplacées. En janvier 2020, l’établissement comptait 748 élèves, dont 113 déplacés. « Chaque jour, des élèves déplacés viennent... Nous ne refusons pas d’inscriptions, mais s’il n’y a pas de places, ils ne peuvent pas commencer », a déploré le directeur de l’école.](/sites/default/files/media_2021/09/202005Africa_BurkinaFaso_schoolattack_5.jpg)
Une élève lève la main pour répondre à une question de son institutrice dans une salle de classe bondée d’une école primaire publique à Kaya, une ville de la région burkinabè du Centre-Nord qui accueille des dizaines de milliers de personnes déplacées. En janvier 2020, l’établissement comptait 748 élèves, dont 113 déplacés. « Chaque jour, des élèves déplacés viennent... Nous ne refusons pas d’inscriptions, mais s’il n’y a pas de places, ils ne peuvent pas commencer », a déploré le directeur de l’école.
© 2020 Lauren Seibert/Human Rights Watch