Lors d'une période d'essor de l'investissement étranger au Mozambique, le gouvernement et des compagnies multinationales ont déplacé des communautés locales et les ont réinstallées à de grandes distances de leurs terres fertiles pour faire place à des mines de charbon. L'offre de compensation incluait une maison, mais la terre avait un mauvais accès à l'eau et était impropre aux cultures vivrières. « La terre agricole que nous avons reçue est rouge, pas noire comme celle que nous avions avant. J'ai essayé de faire pousser du maïs mais il est mort. Le sorgho aussi a échoué …. Je ne suis pas vraiment contente. Ce que je peux dire, c'est: qu'est-ce qu'une maison sans nourriture? Je ne peux pas manger ma maison », a déclaré Maria C.