Des hommes originaires du Soudan et du Yémen montrent leur carte de réfugié ou de demandeur d’asile le 12 avril 2023 devant le bureau de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) à Tunis. Le 11 avril, la police tunisienne avait fait usage de la force et de gaz lacrymogènes pour disperser des réfugiés, des demandeurs d’asile et des migrants siégeant devant le bureau de l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) à Tunis dans un camp de fortune qui a ensuite été démantelé. © 2023 Fethi

Des hommes originaires du Soudan et du Yémen montrent leur carte de réfugié ou de demandeur d’asile le 12 avril 2023 devant le bureau de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) à Tunis. Le 11 avril, la police tunisienne avait fait usage de la force et de gaz lacrymogènes pour disperser des réfugiés, des demandeurs d’asile et des migrants siégeant devant le bureau de l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) à Tunis dans un camp de fortune qui a ensuite été démantelé.

© 2023 Fethi Belaid /AFP via Getty Images